Les 20 moments les plus drôles de la Coupe du monde qui feront rire même les pus allergiques au football

Nous commençons notre liste avec ce que Twitter a surnommé « la meilleure remise en jeu de l'histoire de la Coupe du monde ». Alors que se profilait une défaite 1-0 contre l'Espagne lors du tournoi de 2018, l'Iran cherchait désespérément à égaliser, quand l'équipe a remporté une remise en jeu. C'est alors que Milad Mohammadi a décidé d'essayer quelque chose de spécial. Le remplaçant a embrassé le ballon, a pointé le ciel et a exécuté une roulade avant parfaite, mais n'a ensuite pas lancé le ballon.

En fin de compte, nous ne savons pas si Mohammadi a raté son lancer ou s'il a simplement réalisé que ce n'était pas le moment de réaliser un exploit aussi fantaisiste. Quoi qu'il en soit, il s'est juste arrêté, puis a reculé et a effectué une remise en jeu normale ! Tout le monde dans le stade et tous ceux qui regardaient à la maison étaient confus, c'est le moins qu'on puisse dire. Un utilisateur de Twitter a ainsi posté : « J'ai regardé cela environ 30 à 40 fois et je ris toujours autant que la première fois. »

Lorsque l'Angleterre a affronté le Brésil lors de la Coupe du monde de 1962, l'attaquant Jimmy Greaves a eu une rencontre avec un envahisseur canin dont on se souvient encore aujourd'hui ! En 2014, Greaves a expliqué que le chien courait sur le terrain de l'Estadio Sausalito, et que personne ne pouvait sen saisir, alors il est intervenu. Il a dit : « Je me suis mis à quatre pattes, étant de toute façon un amoureux des chiens, et je l'ai appelé. » Malheureusement pour Greaves, la situation a alors basculé !

« Il a reçu une énorme acclamation, et j'ai ramassé le chien et je l'ai câliné et pendant que je le câlinais, il a fait pipi sur mon maillot ! » en rit encore le légendaire buteur. « Et vous ne changiez jamais de maillot à l'époque, vous n'aviez qu'un seul maillot, alors je devais jouer avec ce maillot. » Le Brésilien Garrincha est allé encore plus loin : il a fini par ramener l'animal chez lui. Et Greaves d’ajouter : « Je suis connu au Brésil comme l’attrapeur de chiens de Garrincha. »

Lors de la Coupe du monde de 1994, la République d'Irlande a affronté le Mexique dans un match de groupe très chaud. Et c’est aussi à prendre au sens propre : la température était de 43 degrés à Orlando ! L'attaquant John Aldridge a dû souffrir de cette chaleur alors qu'il attendait sur la touche pour devenir remplaçant. L'Irlande était menée 2-0 et ils avaient besoin d'un but, mais les officiels ont retardé son entrée dans le match. Alors, il a perdu son sang froid !

Aldridge a lancé une diatribe grossière contre l'officiel, qui a également été abordé par le manager irlandais en colère, Jack Charlton, au même moment. Au final, si c'était assez marrant de voir des professionnels perdre leur sang-froid, le sport en a souffert. Le mea culpa d'après-match d'Aldridge était le suivant : « Je sais maintenant que j'ai eu tort. Quand vous êtes à deux buts et que vous n'avez que 10 hommes sur le terrain dans une situation comme celle-ci, la frustration ressort »

Ce n'est pas souvent que les gens ont l'impression que la FIFA – l'instance dirigeante de la Coupe du monde – trolle un joueur. C'est pourtant exactement ce qui est arrivé à Mathieu Valbuena, le petit attaquant français, lors du tournoi 2014 ! À seulement 1m67, Valbuena était l'un des joueurs les plus petits de l'équipe de France - mais il s'est vu attribuer le plus grand enfant pour la séance photo d'avant-match. Sérieusement, il ne mesurait que quelques centimètres de plus que le gamin !

Le tout a été rendu encore plus flagrant lorsque les fans ont remarqué que le coéquipier de Valbuena, Paul Pogba – qui mesure un impressionnant 1m90 – a reçu l’enfant le plus petit de l'équipe! Cela a créé une image sans aucun doute hilarante, dont les réseaux sociaux se sont amusés. Le compte Twitter de Football Funnys a publié : « Celui qui a choisi les enfants aime apparemment rire ! »

Le pauvre Gary Lineker a souffert de ce dysfonctionnement intestinal embarrassant lors du match d'ouverture du mondial 90 en Italie. En seconde période, l'attaquant anglais s'est... comment dire... souillé sur le terrain – sous les yeux des caméras du monde entier ! Lors d'un épisode de Match of the Day en 2020, il a expliqué qu'il avait été malade la veille du match mais avait refusé de le dire au manager au cas où il le laisserait hors de l'équipe.

« C’est le début de la seconde mi-temps, nous sommes à 10 ou 15 minutes de jeu, et je recommence à avoir des crampes, et je pense : « Oh, je suis mal, là..." », a poursuivi Lineker. « Je suis en quelque sorte tombé au sol et je me suis détendu pendant une seconde et ça a juste fait 'boum'. Je ne savais tout simplement pas quoi faire. Dieu merci, j'avais un short bleu foncé ce jour-là. Je me suis frotté sur l'herbe comme un chien ! »

Lors du tournoi de 2018, la Belgique et l'Angleterre se sont affrontées en phase de groupes. La Belgique est sortie victorieuse 1-0 grâce à une frappe d'Adnan Janazaj, mais le moment hilarant est venu lorsque l'attaquant Michy Batshuayi a tenté de célébrer le but de ses coéquipiers. Il a ramassé le ballon hors du filet puis, avec l'adrénaline coulant dans ses veines, a tenté de frapper à nouveau le ballon dans le filet pour faire bonne mesure.

Mais tout ne s’est pas passé comme prévu. Le ballon a rebondi sur le poteau et est revenu dans son visage, l’étourdissant. Naturellement, les caméras de télévision ont tout capté – et l'ont rejoué jusqu'à la nausée pour le plus grand plaisir des téléspectateurs. Batshuayi a pris les choses avec humour, se rendant sur Twitter après le match pour admettre qu'il savait qu’on se moquerait de lui. Il a ainsi écrit : « Pourquoi suis-je si stupide ? »

Au moment où le défenseur américain Jeff Agoos a finalement disputé son premier match de Coupe du monde pour l'équipe nationale, il avait 34 ans. Malheureusement pour lui, c'était le jour où le destin a conspiré pour le voir marquer un but contre son camp vraiment incroyable – qui ne pourrait pas être recréé même s'il essayait. Lorsqu'un attaquant portugais a enroulé un centre dans la surface, Agoos a laissé aller son pied et a envoyé le ballon dans son propre filet.

Agoos a expliqué au New York Times : « J'ai ramassé le ballon tard en vol et j'ai réagi tardivement. [J’étais] incapable de lever ma jambe assez rapidement pour la rediriger hors des limites plutôt que vers notre but. Heureusement pour lui, les États-Unis ont tout de même remporté le match 3-2. Malheureusement pour lui, il se blesse au mollet dès le match suivant et rate le reste du tournoi ! Peut-être que le pauvre gars était maudit...

L'Angleterre avait une Coupe du monde à oublier en 2010. Elle est sortie de son groupe de justesse mais a ensuite été battue par l'Allemagne 4-1 et expulsée du tournoi. L'un des matchs de groupe a également été personnellement calamiteux pour le gardien Rob Green. Il a probablement encore des flashbacks occasionnels de la foi où il a dévié le tir de Clint Dempsey lors du match nul 1-1 avec les États-Unis, et de comment les médias se sont moqués de lui.

En vérité, Green a toujours été un gardien solide et sa carrière n'a pas été définie par cette erreur. Cependant, on parie qu'il lui a fallu du temps pour prendre les choses avec humour ! En 2022, il a déclaré à The Independent : « Cela aurait pu être quelque chose qui s'est passé quand j'avais 12 ans, ou cela aurait pu se produire lors d'une Coupe du monde. C’est une erreur si petite que vous vous dites : « C'est juste la dimension du match qui en fait ce qu'elle est. »

Imaginez la scène : Soldier Field à Chicago. 67 000 fans présents. La cérémonie d'ouverture de la Coupe du monde 1994. Le président Clinton prononce un discours, puis Oprah Winfrey présente Diana Ross qui va interpréter "I'm Coming Out" - une métaphore évidente de la façon dont les États-Unis utilisaient ce tournoi pour annoncer au monde, « Hey, nous jouons au football nous aussi. » La fin de la performance de Ross implique qu'elle marque un penalty, ce qui aurait certainement dû avoir pour effet de faire se déchaîner la foule.

Tout cela est génial en théorie, en supposant que l'icône pop marque le penalty. Mais elle l’a raté, frappant tellement le ballon vers la gauche qu'il a complètement manqué le filet – filet qi s’est alors divisé en deux. C'était censé être une démonstration amusante de la puissance de son tir, mais étant donné que le ballon n'a pas atteint le filet, tout cela avait l'air un peu ridicule !

C'est peut-être le moment le plus surréaliste de l'histoire de la Coupe du monde. Après tout, ce n'est pas tous les jours qu'un membre de la royauté entre sur un terrain de football pour se disputer avec un arbitre ! En 1982, le Koweït affrontait la France et, lorsque les Français ont marqué un quatrième but, le prince Fahad a pris sur lui de quitter les tribunes et d'arrêter le jeu. Il s'est entretenu avec l'arbitre Miroslav Stupar et a menacé de retirer l'équipe du Koweït du tournoi. Mais qu'est-ce qui a bien pu le rendre si fou de rage ?

Eh bien, les joueurs du Koweït avaient arrêté de jouer et cela a permis à la France de mettre facilement le ballon dans le filet. Ils ont affirmé avoir entendu un coup de sifflet, qu'ils supposaient être celui de Stupar arrêtant le jeu, mais en sont venus à croire qu'il venait en fait de la foule. Incroyablement, Fahad a poussé l'arbitre à annuler le but, à la grande colère de la France. Il a ensuite été interdit d'arbitrage et Fahad a été condamné à une amende.

Lorsque l'Australie et la Croatie se sont affrontées lors de la Coupe du monde 2006, le match a vite pris des allures de jeux du cirque, et trois joueurs ont vu rouge. Malheureusement, l'un d'entre eux était le Croate Josip Šimunić – qui a en fait reçu trois cartons jaunes de l'arbitre Graham Poll avant de finalement recevoir son rouge ! Naturellement, comme tout le monde sait que deux jaunes mènent à un rouge au football, Poll a été fustigé pour son erreur flagrante – même si c'est une erreur bien humaine.

Dans son autobiographie de 2007, Poll a expliqué que lors du deuxième carton de Šimunić, il avait écrit par erreur « Australie #3 » dans son carnet. Pourquoi ? Eh bien, Šimunić est en fait né et a grandi en Australie, il avait donc un accent australien, et c'est ce que Poll a entendu dans le chaos du match. Évidemment, il aurait dû prêter plus d'attention à la procédure, mais au moins une explication existe à sa bévue !

Lors du dernier affrontement entre l'Allemagne et l'Algérie en 2014, les Allemands ont obtenu un coup franc à la 88e minute de la rencontre. Le score était de 0-0, c'était donc une opportunité incroyable de gagner le match. Les talents de classe mondiale Bastian Schweinsteiger, Thomas Müller, Mesut Özil et Toni Kroos se tenaient tous au-dessus du ballon, prêts à faire parler la poudre... puis tout a mal tourné.

En effet, Schweinsteiger a couru sur le ballon, puis Müller a couru vers lui mais a trébuché. Quand il s'est levé et a couru devant le ballon, Kroos a tenté da pousser, mais il a simplement touché les défenseurs et le danger a été écarté. Tout cela avait l'air d’un film de Chaplin, et Müller a admis dans une interview par la suite que sa course était une ruse intentionnelle. Il en rigolait : « À l'entraînement, cela a toujours fonctionné. Mais ça ressemble à de la merde quand ça ne marche pas. »

En 1974, le Zaïre n'était que la deuxième nation africaine à avoir disputé une Coupe du monde - mais leur campagne restera à jamais dans les mémoires pour un moment de folie. Lorsque le Brésil a obtenu un coup franc et que le défenseur Mwepu Ilunga est sorti du mur défensif du Zaïre pour frapper dans le ballon, les fans du monde entier ont été stupéfaits. L’épisode a été expliqué avec condescendance par les médias comme le fait que l'équipe du Zaïre ne comprenait pas les règles du football.

Cependant, Ilunga a révélé en 2014 qu'il protestait en fait contre le règne autoritaire du président zaïrois Joseph Mobutu, dont le gouvernement retenait les primes de l'équipe. Il a déclaré à ESPN : « C'était... une opportunité que j'ai saisie pour provoquer l'arbitre. Je voulais qu'il me donne un carton rouge. » Et cela concordait avec ce qu'il avait dit au Guardian en 2014 : « Je n'avais aucune raison de continuer à me blesser pendant que ceux qui en bénéficieront financièrement étaient assis sur les terrasses à regarder. »

Il est difficile de ne pas rire de ce moment, à moins d'être écossais. Si tel est le cas, alors c'est probablement une torture totale à regarder ! À la 84e minute de l'Ecosse contre l'URSS lors de la Coupe du monde de 1982, le ballon est joué vers la défense écossaise. C'est à ce moment qu'Alan Hansen et Willie Miller, deux grands noms du sport britannique, se croisent comme les personnages d'un dessin animé des Looney Tunes.

C’est de l'agonie pure qu’on a pu lire sur leurs visages alors qu'ils regardaient l'attaquant de l'URSS Ramaz Shengelia sprinter vers le but pour marquer. Le match s'est terminé 2-2, ce qui a vu l'Écosse éliminée de la compétition. En 2022, Neil Drysdale, de The Press and Journal, a déploré qu'il importait peu que Hansen et Miller fussent de grands joueurs car, ce jour-là, ils avaient fait de l’Écosse la risée du monde entier.

Lorsque le gardien colombien René Higuita a rencontré l'attaquant camerounais Roger Milla lors de la Coupe du monde 1990, une erreur s'est produite qui a fait exploser de rire le monde entier. Higuita était un non-conformiste, enclin à courir avec le ballon à l'extérieur de sa surface – ce que les gardiens tentent rarement. Il a tenté de le faire à 35 mètres du filet contre Milla… et ça ne s'est pas bien passé ! En 2014, Milla a déclaré au magazine FourFourTwo : « J'ai eu de la chance parce que j'ai joué avec Carlos Valderrama, le capitaine colombien, à Montpellier. »

« Grâce à Valderrama, j'avais vu des vidéos de Higuita dribblant le ballon hors de sa zone », a poursuivi Milla. « Je savais que si j'étais assez rapide, je pourrais peut-être profiter d'une erreur. » L'explication de Higuita pour sa gaffe a été révélée dans World in Motion : The Inside Story of Italia '90 : « C'est le genre d'erreur que font ceux d'entre nous qui jouent au football ; ceux d'entre nous qui aiment le ballon, ceux qui veulent garder le ballon à l'intérieur du terrain et pas seulement frapper dedans. »

Lors de la Coupe du monde 2002, le Brésil a été magistral. En route pour remporter le tournoi, ils ont enregistré des victoires dans les sept matches. L'équipe - qui comprenait Ronaldo et Ronaldinho - a joué un très beau football. Malheureusement, un exemple de simulation absurde de Rivaldo lors de leur match de groupe contre la Turquie a jeté une ombre sur leur performance. En fait, sa tricherie, qui s'est soldée par un carton rouge pour Hakan Unsal, était si flagrante qu'il a été condamné à une amende par la FIFA !

Étonnamment, même si des séquences vidéo montraient clairement que le visage de Rivaldo n'avait pas été frappé par le ballon lancé sur lui par Unsal – il l'avait en fait frappé au genou – il a refusé de s'excuser. Bien qu'il ait clairement simulé une blessure, la star a déclaré : « Je ne suis désolé de rien… De toute évidence, le ballon ne m'a pas touché au visage, mais j'étais toujours une victime. Je n'ai frappé personne au visage. Personne ne se souvient de ce que le Turc a fait. Je ne suis pas un joueur qui simule des fautes. »

Malheureusement, il n'y a pas de photos ou de vidéos de ce moment inattendu, car il s'est produit il y a plus de 90 ans lors de la toute première Coupe du monde ! En demi-finale du tournoi de 1930, les États-Unis ont affronté l'Argentine. À un moment donné, le physio américain Jack Coll a été appelé après un méchant tacle sur l'un de ses hommes, alors il s'est précipité sur le terrain. Puis il s'est effondré et a été emmené sur une civière, à la place du joueur blessé !

Qu'est-ce qui s'est passé ? Eh bien, alors qu'il se précipitait sur le terrain, Coll a accidentellement trébuché et a cassé une bouteille de chloroforme dans son sac de médicaments lorsqu'il a heurté le sol. Les fumées l'ont endormi presque immédiatement ! C'est l'une de ces situations où vous ressentez sans aucun doute de la sympathie pour Coll à cause de sa malchance – mais encore une fois, l'image de lui s'assommant de la sorte est trop bizarre pour ne pas en rire !

L'une des images les plus indélébiles de la Coupe du monde 2006 est celle du Portugais Deco et du Néerlandais Giovanni Van Bronckhorst assis ensemble sur le banc des remplaçants. Les joueurs perplexes - qui étaient des adversaires ce soir-là mais qui ont joué ensemble pour Barcelone en club - discutaient du match bizarre dont ils avaient tous deux été expulsés par l'arbitre Valentin Ivanov. En effet, il s'agissait de deux des quatre cartons rouges - et 16 jaunes - émis lors de « La bataille de Nuremberg ! »

Le nombre record d'avertissements et d'expulsions était une indication qu'Ivanov avait totalement perdu le contrôle du match. Cela a conduit le président de la FIFA, Sepp Blatter, à déclarer publiquement que l'arbitre lui-même aurait dû recevoir un carton jaune – une blague hilarante que Blatter admettra plus tard qu'il regrettait d'avoir prononcée. Quoi qu'il en soit, Ivanov a été renvoyé du tournoi et le Portugal a été contraint de jouer son prochain match avec deux joueurs clés suspendus !

En 1977, Ally McLeod devient manager de l'équipe nationale d'Ecosse. Lors de sa première conférence de presse, il déclare : « Je m'appelle Ally MacLeod et je suis un gagnant. » L'équipe s'est ensuite qualifiée pour la Coupe du monde 1978 - ce que l'Angleterre n'avait pas réussi à faire pour la deuxième fois consécutive - et McLeod a promis de tout gagner. Le moral était si haut que la nouvelle chanson du comédien Andy Cameron « Ally's Tartan Army » a atteint la sixième place du classement des singles britanniques !

Il semblait que tout était prêt pour que l'Ecosse excelle dans le tournoi - mais elle a ensuite perdu 3-1 contre le Pérou, fait match nul 1-1 avec l'Iran et battu la Hollande 3-2. Ces résultats les ont condamnés à une sortie en phase de groupes et McLeod a démissionné de son emploi de rêve un seul match après la Coupe du monde. L'orgueil l'avait submergé, même si dans son autobiographie il affirmait : « Je suis un très bon manager qui vient de passer quelques jours désastreux, il était une fois en Argentine. »

Alan Partridge est, bien sûr, l'incroyable création comique de l'acteur Steve Coogan. Le personnage est un présentateur de radio et de télévision incompétent et, en 1994, il est apparu dans l'émission d'information satirique The Day Today pour commenter des clips de football à l'approche de la Coupe du monde. Comme l'Angleterre ne s'était pas qualifiée pour le tournoi, les commentaires sciemment ignorants de Partridge ont adouci le coup porté à une nation qui avait bien besoin de rire.

Certaines des plus belles citations de Partridge comprenaient : « Boof ! Mange mon but! Le gardien de but a une tarte au football partout sur son maillot ! » » et « Vous avez vu ça ? Il doit avoir un pied comme un moteur de traction ! » Notre favorite, cependant, était soit « C'était du football liquide ! » ou « Oui… oui… oui… oui… oui… oui… oui ! C'était un but ! » Comme toujours avec Partridge, c'était grinçant et terriblement idiot - exactement ce qu’on aime.